samedi 1 février 2014

JEU DU MOIS!

 
 
Ces 2 cartes de 1917 se ressemblent puisque ce sont les mêmes timbres-taxe qui ont été utilisés...
 
 
 
 
Mais la similitude va plus loin!
Quelle particularité ont-elles en commun?

22 commentaires:

  1. Bonjour,

    Pour participer, je propose des expéditeurs n'appartenant pas aux troupes combattantes et ne bénéficiant pas de la F.M.

    Bernard

    RépondreSupprimer
  2. Bernard, toujours le premier à réagir!
    Il est bien possible que tu aies raison, mais je ne suis pas de ton avis.
    Attendons d'autres points de vue...

    RépondreSupprimer
  3. bonjour,

    heuuuu, elles ont été jetées dans une boîte mobile (y' longtemps que je n'avais pas posté une conn...e sur ton jeu du mois ;-))

    RépondreSupprimer
  4. Très intéressante hypothèse de Monsieur D., mais qui ne tient pas pour l'une des deux cartes (celle-là même qui ne me semble pas coller avec la proposition de Bernard) ;-)

    RépondreSupprimer
  5. Deux personnes qui se sont perdues dans les méandres et exceptions des tarifs postaux et qui ont été poursuivies par la patrouille...

    RépondreSupprimer
  6. Les deux cartes émanent toutes les deux d'ouvriers militaires (et après ? me diras-tu ...)

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Ah ? sur la seconde je lisais "AFAT en mission", tout en me disant que ce terme n'existait pas encore en 1917.

      Bon, j'ai trouvé : sur les deux CP, les timbres-taxe se chevauchent.

      Bruno

      Supprimer
    2. Je lis MO1 Estoup, pour Maître Ouvrier de 1ère classe, je suppose (à moi, le Matériel !)

      Supprimer
  7. Ben, je vois quant à moi quelque chose de commun, bien en rapport avec la poste, qui arrive parfois même si ça ne devrait pas...

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. "qui arrive parfois même si ça ne devrait pas..."
      La perspective d'une réponse indiscutable s'éloigne ......
      Bernard

      Supprimer
  8. Mais qui pour moi est arrivée dans ces 2 cas; d'où l'intérêt (tout relatif), puisque "ça ne devrait pas"...
    J'attends que Bruno finisse sa grasse matinée. Si on n'a pas d'autres avis ce soir, je donne ma version des faits!

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Avant de répondre "pour participer", j'ai tout de même consulté l'article des FM n° 254 qui évoque la notion de troupe combattante et qui souligne également une bienveillance de la poste pour accepter des franchises "limites".
      Ces deux cartes n'ont pas bénéficié de cette bienveillance. La raison doit en être certaine.....

      Supprimer
    2. Tu médis JC à propos de ma grasse matinée, j'avais répondu dix minutes avant ton message.

      Et je crois que Bernard te guette au coin du bois pour l'explication finale...

      La première est un joli 2e jour de tarif.

      Bruno

      Supprimer
    3. Et la seconde, œuf corse, "remis au guichet"

      Supprimer
    4. Pourquoi un 2ème jour de tarif ? De quel tarif ?

      Supprimer
    5. OK, ok, oublions ma réponse, si tu veux bien.

      Supprimer
  9. Bon, comme vous me mettez le doute, j'avoue tout!

    Le point commun pour moi, c'est qu'aucune de ces 2 cartes n'aurait dû être taxée.

    La première porte la marque administrative du capitaine commandant d'une compagnie du 2ème groupe d'artillerie de campagne d'Afrique; je ne sais pas si les ouvriers auxiliaires indigènes avaient la FM (vraisemblablement, s'ils savaient écrire), mais les autochtones d'origine bordelaise les encadrant, sûrement!
    La seconde carte a été écrite par Bertrand qui n'était sans doute pas auxiliaire féminine, mais qui, en mission et donc isolé de son unité, a pris la peine de justifier au bureau de poste de Cherbourg de son droit à la FM, comme l'atteste la peu lisible griffe linéaire "REMIS AU GUICHET".

    C'est mon avis et, en plus, je le partage... Mais si vous pensez que je me trompe, il faut me le dire! Et merci de votre participation!!!

    RépondreSupprimer
  10. Ce qui est certain, c'est que les deux expéditeurs ont voulu adresser leur carte postale en franchise.
    Le premier, ouvrier auxiliaire indigène, aurait été plus inspiré de faire signer au droit du cachet son capitaine plutôt que de signer lui-même.
    Le second, en déposant sa carte au guichet et en justifiant de sa situation, a dû penser qu'il avait fait le nécessaire.
    Mais aucune des franchises n'a été admise à la distribution, sans doute à juste titre.
    Aussi, plutôt que de considérer qu'aucune de ces 2 cartes n'aurait dû être taxée, il serait plus prudent d'écrire que ces 2 cartes auraient pu ne pas être taxées.
    Bernard

    RépondreSupprimer
  11. Je ne crois pas que l'expéditeur de la 1ère carte soit un ouvrier indigène. La vue sur la CP lui rappelle son passage à l'Hôtel de Ville; "quand reprendrai-je mon écharpe?". La signature en arabe (certainement la transcription de son nom) est, je pense, un petit plaisir d'officier intéressé par la culture de ses hommes... La signature apparaissant à la fin du message ET près du cachet administratif, j'irai jusqu'à croire qu'il est LE capitaine de la compagnie!
    Pour ce qui est de la griffe REMIS AU GUICHET, la poste l' a créée uniquement, me semble-t-il, pour éviter que le courrier des permissionnaires, ou autres isolés, ne soit taxé du fait de l'absence de cachet administratif; elle prouve que l'expéditeur a présenté ses papiers militaires au guichet.
    Non?

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. S. STROWSKI confirme page 240 de son livre sur "Les Estampilles Postales de la Grande Guerre" que la griffe "Remis au Guichet" a été créée pour les courriers des permissionnaires à admettre en franchise.
      Sur ta carte, il est possible que sa frappe pas très nette explique la taxation à l'arrivée.
      Bernard

      Supprimer
  12. Oui, ce doit être à cause de la frappe, je suis d'accord.

    Il faut maintenant que j'arrive à te convaincre pour la première carte:

    Pense-tu que personne dans cette 30ème compagnie n'avait droit à la FM? ou bien que l'encadrement était forcément constitué de "vrais" militaires y ayant droit? Dans cette dernière hypothèse, les postiers ne pouvaient que tenir compte de la marque administrative sans essayer de deviner le statut de l'expéditeur au sein de compagnie, ce qui aurait été mission impossible... Non?

    RépondreSupprimer