Cette grande rareté mondiale (Yv. 13b) a une cote de plus de 50 000 euros en détaché...
Si j'en parle, c'est parce que je suis (re)tombé sur un Timbres magazine de juillet-août 2004 montrant cette lettre exceptionnelle (Coll. B. BEHR):
Dommage qu'il y ait cet éclat d'ouverture en haut à gauche, mais bon, c'est la seule pièce connue!!!
Toujours dans Timbres magazine, en juillet-août 2005, soit un an plus tard, on pouvait voir dans la publicité pour une vente à prix nets, la lettre suivante (ou précédente, c'est comme on veut):
Pour ceux qui préfèrent les pièces de qualité LUXE!
Quelle bonne nouvelle, le morceau d'envelopppe qui manquait a été retrouvé! :)
RépondreSupprimerIl devait être coincé dans la doublure!!
Belle restauration ! J'ai revu ma position à ce sujet. Il y a en effet restauration et restauration. OK pour une restauration effectuée par un professionnel lorsque l'objet est vraiment abîmé et esthétiquement "amoché". Nous sommes nous-mêmes quasiment tous restaurés ;-). L'important est de signaler la restauration à l'acquéreur, ce que ne font hélas que trop peu de vendeurs...
RépondreSupprimerMerci Pascal.
RépondreSupprimerIl est vrai que si la restauration est signalée et de qualité, c'est moins grave; mais, pour moi, elle n'a de raison d'être que si la conservation de la pièce le nécéssite: je n'aurais pas rendu ses bras à la Vénus de Milo!
Mais c'est très subjectif.